Publié le 24 janvier 2017 | par Rédaction

4 Points Clefs :
– 1) Le critère essentiel pour déterminer la durée de détention reste le kilométrage annuel. C’est cette « consommation » prévisionnelle qui va permettre de déterminer la durée optimale de détention
– 2) Il ne faut pas hésiter à se renseigner auprès de plusieurs acteurs et prendre en compte les différentes solutions de financement en fonction du type de véhicule et de ses conditions d’utilisation pour déterminer la meilleure solution
– 3) La location longue durée permet de ne plus avoir à se soucier du poste automobile. Désormais, les loueurs offrent plus de souplesses et les modifications en cours de contrat sont de plus en plus fréquentes
– 4) La situation économique difficile, les solutions multimédia et le télétravail, la prise en compte du risque routier dans l’entreprise sont les principaux facteurs expliquant la diminution lente mais régulière du kilométrage annuel moyen en entreprise ces dernières années.

Des données essentielles

Définir le plus précisément possible les conditions de détention et d’utilisation des véhicules présents dans le parc de l’entreprise est essentiel pour une bonne gestion. La durée de détention est déterminante dans le choix du type d’acquisition et de financement des véhicules.

Or, la durée de détention est elle-même directement liée la loi de roulage des véhicules. Il convient donc de définir précisément ses besoins, d’autant que la tendance générale du marché est la diminution du kilométrage annuel moyen parcouru par les professionnels. « Si l’on considère les données lors de la restitution des véhicules chez Leaseplan, la durée moyenne est de 41 mois, une valeur stable depuis trois ans environ. En revanche, la loi de roulage a tendance à diminuer un peu puisque le kilométrage moyen lors de la restitution des véhicules est de 106 000 kilomètres et même 103 500 plus récemment.

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Le contrat moyen LLD chez nous est désormais de 36 mois et 100 000 kilomètres. Cette durée représente un véritable pivot chez nos clients, toutes catégories confondues. C’est généralement la durée qui permet une bonne optimisation de la loi de roulage avec une adaptation du point de vue du kilométrage en fonction des opportunités et des besoins du client » explique Jean-Loup Savigny, directeur commercial et marketing Leaseplan France. « Il n’y a pas de durée idéale, tout dépend de la voiture prise en considération et de ses conditions de roulage. D’un point de vue plus global, plus la durée est longue, plus cela permet une bonne maîtrise de la valeur résiduelle du véhicule. Chez Athlon, la durée moyenne de contrat est d’environ 43 mois » précise Patricia Sinnah, responsable efficacité commerciale chez Athlon France.

Selon Edouard Rance, président du cabinet conseil ERCG, « Depuis les années 2000, il y a eu une évolution du seuil psychologique par rapport au kilométrage. La barre psychologique des 120 000 kilomètres est aujourd’hui dépassée et nous observons régulièrement des contrats à 140 000 kilomètres ». « Les durées de détentions dépendent bien entendu du type de véhicule ; les utilitaires légers ont une durée de détention plus longues que les voitures pour les commerciaux et les véhicules de direction sont détenus moins longtemps » sourit Jean-Loup Savigny. Un point de vue partagé par Edouard Rance : « Beaucoup de véhicules utilitaires sont équipés et l’amortissement de cet équipement, qui peut parfois représenter une part importante du prix du véhicule, entraîne une augmentation de la durée de détention.

Cela étant, d’un point de vue plus global, je pense que les clients vont baisser leurs durées de détention. L’approche la plus fréquente consiste à travailler sur un pivot avec, en moyenne 40 000 kilomètres par an. Le client détermine un contrat type sur 36 mois et 120 000 kilomètres et après l’adapte plus précisément en fonction de ses besoins. La meilleure solution consiste en réalité à comparer plusieurs couples durée / kilométrage afin de déterminer de façon la plus fine possible quelle est la solution optimale ».

Facteurs de l’évolution ?

Quels sont les facteurs pouvant expliquer cette tendance à la diminution du kilométrage moyen parcouru ? « Une des explication peut être le télétravail. De ce point de vue, la plupart des entreprises françaises sont en retard mais il s’agit d’un vrai changement des mentalités qui est en train de se développer » explique Patricia Sinnah, responsable efficacité commerciale chez Athlon France. « Beaucoup d’entreprises reviennent sur le télétravail pour différentes raisons dont l’exclusion du collaborateur de la vie quotidienne de l’entreprise, ou mettent en place du télétravail de façon moins intense, un jour par semaine par exemple.

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Une autre explication de la diminution du kilométrage moyen est que les collaborateurs qui roulent beaucoup, comme les commerciaux ou les livreurs en utilitaires légers, doivent faire face à une conjoncture économique compliquée et roulent tout simplement moins » souligne Jean-Loup Savigny, directeur commercial et marketing Leaseplan France. « Certaines entreprises commencent à dire qu’elles en ont assez de payer quelqu’un pour conduire un véhicule ce qui a un impact sur le kilométrage annuel » affirme Edouard Rance, président du cabinet conseil ERCG. « Cela ne veut pas dire que les commerciaux ne travaillent plus. Avec la connectivité croissante des véhicules, de plus en plus travaillent dans leur auto » tempère Antoine Bourbonneux, directeur des ventes Mini France.

Quel type de financement choisir ?

Le marché du financement est actuellement très favorable avec des taux d’intérêt particulièrement faible. Cela doit-il inciter les entreprises à renouveler leur parc et quel type de financement choisir ? « Les faibles taux d’intérêts actuels peuvent effectivement inciter au renouvellement du parc par de nouveaux véhicules mais il faut bien prendre en compte tous les paramètres, y compris les éventuels frais de restitution anticipés » affirme Edouard Rance, président du cabinet conseil ERCG. Pour Jean-Loup Savigny, directeur commercial et marketing Leaseplan France,

« La crédit-bail ou la LOA sont un sas entre l’achat en propre et la location longue durée. La LOA offre la possibilité de rachat du véhicule en fin de contrat et c’est ce qui « rassure » le client. Or, le plus souvent, l’option d’achat n’est pas mise en œuvre et le véhicule est restitué. Il s’agit néanmoins d’une évolution dans le mode de consommation des véhicules dans les TPE et les PME et peut dès lors représenter un premier pas vers la LLD ». « La LLD commence à être de plus en plus présente, y compris auprès des particuliers même si la part reste faible » confirme Edouard Rance. « Le particulier a besoin de se sentir rassurer et a besoin de savoir qu’il n’a pas payé « pour rien » pendant plusieurs années » ajoute Jean-Loup Savigny.

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« Avec la location longue durée, la société de location prend en charge le risque au niveau de la valeur résiduelle lors de la revente du véhicule ainsi que l’entretien pendant toute la durée du contrat. Cela a mis des années avant de se développer dans les proportions actuelles chez les professionnels. Cela prendra aussi du temps chez les particuliers » souligne Edouard Rance. « Il ne faut non plus perdre de vue les avantages de la location longue durée du point de vue comptable. Aujourd’hui, les entreprises préfèrent avoir des charges que des actifs incertains au bilan » précise Antoine Bourbonneux, directeur des ventes Mini France.

« Quant à l’achat en propre, beaucoup d’entreprises amortissent leurs véhicules sur 5 ans puis rallongent de 3 ans et ensuite revendent leur véhicules de façon un peu empirique, sans prendre en compte les coûts de détention et de maintenance de la flotte » affirme Jean-Loup Savigny, directeur commercial et marketing Leaseplan France. « C’est vrai que beaucoup d’entreprises conservent leurs véhicules sans avoir une idée précise des vrais coûts de détention et d’entretien de leurs véhicules. Ils partent du principe que tant que ça roule, je garde les véhicules et ça ne me coûte pas cher. Cela n’est pas toujours exact même si le taux de panne des véhicules actuels est très faible jusqu’à 160 000 ou 170 000 kilomètres» confirme Edouard Rance. « Il ne faut pas perdre de vue que les véhicules actuels ont profité des nombreux efforts fournis par les constructeurs notamment au niveau de la consommation de carburant et des émissions de CO2. La fiscalité n’a jamais été aussi basse et c’est idiot de ne pas en profiter » renchérit Jean-Loup Savigny.

Déterminer son couple durée / kilométrage

La durée de détention du véhicule et son taux d’utilisation, directement lié à l’usage qui sera fait du véhicule, détermine le contrat de location ou la durée d’amortissement. Comment déterminer ces données essentielles ? « Le critère de base est et reste encore le kilométrage prévisionnel. Quand le kilométrage est défini, il faut ensuite choisir la durée du contrat de location dans le cadre de la LLD ainsi que la « car policy », le choix des modèles de véhicules » explique Jean-Loup Savigny, directeur commercial et marketing Leaseplan France.

« Il faut néanmoins faire attention à certains effets de seuil, tant du point de vue du kilométrage que de la durée de détention. Par exemple, avec un taux d’utilisation moyen de 25 000 kilomètres par an, le seuil de renouvellement est de 60 mois, sauf pour certains véhicules utilitaires. Au-delà, les coûts d’entretien peuvent augmenter rapidement et grever les coûts de détention » souligne Edouard Rance, président du cabinet conseil ERCG. « Un conseil important pour les responsables des parcs d’entreprise est de renouveler régulièrement le parc de véhicules afin de profiter des évolutions des nouveaux modèles du point de vue de la consommation, de la plus grande diversité de gammes et de modèles, d’une fiscalité plus favorable ou encore des nouveaux équipements multimédia par exemple. La baisse des coûts de certains équipements et de certaines options permet de profiter de véhicules plus plaisants à conduire ou plus attractifs pour les collaborateurs, comme les SUV. Il peut aussi y avoir des facteurs liés au marché qui peuvent faire évoluer notre offre et entraîner une diminution de la durée de détention des véhicules par l’entreprise » aoute Jean-Loup Savigny.

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« Les responsables de parcs des entreprises doivent rester attentif. Il peut être urgent d’attendre. Ce sera sans doute l’évolution technologique des véhicules qui pourra faire évoluer le couple durée / kilométrage, comme de nouvelles technologies de batteries pour les véhicules électriques, le développement de l’hydrogène… » conclut Edouard Rance.

Choisir la moyenne durée

Entre l’achat en propre et la location longue durée qui, par principe, engage l’entreprise sur plusieurs années, la location moyenne durée représente une solution attractive en cas d’incertitude économique, d’embauche de nouveaux collaborateurs sans certitude de pouvoir le conserver ou encore pour répondre à un pic d’activité. « La moyenne durée est le produit qui monte en ce moment. Il permet de répondre aux besoins de l’entreprise concernant les stagiaires, les périodes d’essai, les CDD » lance Edouard Rance, président du cabinet conseil ERCG.

« Les besoins des entreprises évoluent et la moyenne durée répond à une certaine demande » confirme Nils Guiomard, responsable marché grands comptes BMW Group France. « La moyenne durée, de 1 à 24 mois, correspond à une demande des entreprises qui ont de plus en plus besoin de flexibilité face à une activité saisonnière, pour répondre à des entrées ou sorties de collaborateurs dans la société. La moyenne durée est désormais incontournable pour les loueurs. Cela représente entre 5 à 10 % des livraisons par an. Il y a aussi la solution de l’auto-partage mais qui relève d’une approche « philosophique » différente » ajoute Jean-Loup Savigny, directeur commercial et marketing Leaseplan France. « Il s’agit effectivement d’une vraie tendance, notamment pour la gestion des nouveaux collaborateurs, sachant que la demande vient principalement de nos clients LLD » confirme Patricia Sinnah, responsable efficacité commerciale chez Athlon France.

Se tourner vers l’essence ?

Quelles peuvent être les conséquences de l’annonce récente de la possibilité de récupération de la TVA sur l’essence, si elle est entérinée dans la Loi de Finances 2017 ? « Pour le moment, la part des ventes de véhicules essence dans les entreprises reste inférieure à celle du diesel. La possibilité de récupération de la TVA sur l’essence va forcément faire évoluer les choses notamment au niveau des hybrides essence / électrique. Ce type de véhicule peut être très intéressant et très performant dans certains cadres d’utilisation. En outre, l’évolution à venir des modèles hybrides va faire changer le marché » affirme Nils Guiomard, responsable marché grands comptes BMW Group France.

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« La récupération de la TVA sur l’essence peut permettre une augmentation de la part des véhicules essence, hybrides et hybrides rechargeables dans les entreprises. Pour le moment, les véhicules hybrides ne sont présents dans les entreprises que pour des raisons fiscales. Or, un hybride en ville et avec une conduite adaptée, ça vaut le coup. Cela va principalement dépendre de la façon dont les loueurs vont faire évoluer leur offre » lance Edouard Rance, président du cabinet conseil ERCG. « Ce que veulent les utilisateurs, c’est une offre flexible et « hybride » pour s’adapter à leurs besoins, tant du point de vue des carburants que de la durée. Nous devons réfléchir à ces changements » explique Patricia Sinnah, responsable efficacité commerciale chez Athlon France.

« Pour l’instant, la part des véhicules essence est faible et ne concerne que les petites autos parcourant environ 10 000 kilomètres par an. Nous constatons néanmoins une évolution positive de ce marché. La récupération de la TVA sur l’essence est un facteur et devrait permettre de rendre ces véhicules intéressant jusqu’à 15 000 kilomètres par an environ. Cela étant, les gros rouleurs auront toujours intérêt à choisir des véhicules avec un moteur diesel. Il y a eu beaucoup de déconvenues avec les véhicules hybrides. Cela étant, les véhicules essence ne sont pas encore assez installés pour faire changer les choses durablement. Le diesel va encore rester important chez nous » confirme Jean-Loup Savigny, directeur commercial et marketing Leaseplan France. « Tout dépend de la façon dont est vendu l’hybride » rétorque Nils Guiomard. « Il convient aussi de distinguer hybride et hybride rechargeable » précise Antoine Bourbonneux, directeur des ventes Mini France.

En conclusion

Selon Patricia Sinnah, responsable efficacité commerciale chez Athlon France, « Il faut que les responsables des parcs des entreprises regardent et étudient les conditions d’utilisation des véhicules, la fiscalité, les consommations de carburant, les différentes énergies existantes mais aussi le facteur plaisir avec des modèles valorisants pour les collaborateurs. Se renseigner auprès d’un loueur longue durée comme Athlon permet de disposer de conseils permettant à l’entreprise d’être aiguillée vers une bonne solution ».

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« Personne n’a la science infuse et le choix des véhicules composant la flotte est toujours cornélien. Les coûts de détention ne sont pas placés aux mêmes endroits entre un véhicule récent et des modèles plus anciens. Il est donc essentiel de bien définir ses besoins avec des conseils extérieurs qui peuvent provenir du banquier, d’un loueur, du concessionnaire ou encore d’un cabinet conseil comme ERCG. Il faut en tout cas ne pas faire son choix tout seul ce qui a pour conséquence de limiter les critères de choix. Le bon choix, c’est la diversité des conseils pour adapter les véhicules aux besoins des collaborateurs à moindre coût » explique Edouard Rance, président du cabinet conseil ERCG.

Pour Jean-Loup Savigny, directeur commercial et marketing Leaseplan France, « Le premier critère, c’est le kilométrage annuel. C’est lui qui va déterminer la valeur résiduelle, les coûts d’entretien… Ensuite, ce kilométrage doit être associé à une durée. Pour cela, il faut une analyse la plus fine possible des différentes solutions existantes en intégrant un maximum de critères. Les variations peuvent être importantes selon le cycle de vie du véhicule ou les courbes de coûts pendant la durée de détention. De ce point de vue, les loueurs longue durée, comme Leaseplan, bénéficie d’un savoir-faire important, orienté vers le service et la simplification ».

« Les pivots essentiel du choix du couple durée / kilométrage sont le kilométrage prévisionnel ainsi que les besoins du client. Il faut prendre en compte tous les critères, dont les évolutions des modèles qui peuvent faire évoluer le marché, à l’image de la connectivité par exemple. Nous pensons que l’automobile va plus évoluer dans les dix prochaines années que sur les 100 dernières. Le véhicule autonome est presque chez nous et cela va bouleverser le marché » affirme Nils Guiomard, responsable marché grands comptes BMW Group France. «

Le couple durée / kilométrage est un critère de choix parmi une multitude. Il faut prendre en compte le TCO mais qui n’est, lui aussi, qu’un des nombreux critères à prendre en compte. Parmi les autres, il convient de citer les attentes des collaborateurs notamment du point de vue de l’image et de leur valorisation, les services, la technologie. Viennent ensuite des critères plus rationnels comme le kilométrage et la durée. Jamais l’offre n’a été aussi riche et diversifiée et il n’y a pas deux entreprises qui se ressemblent. Il n’y a donc pas une réponse unique mais un besoin de conseil important pour déterminer, au final, le couple durée / kilométrage le mieux adapté » conclut Antoine Bourbonneux, directeur des ventes Mini France.

Guillaume Geneste & Louis Daubin+

Les participants à la table ronde
– Edouard Rance, Président du cabinet conseil ERCG
– Patricia Sinnah, Responsable efficacité commerciale chez Athlon France
– Antoine Bourbonneux, Directeur des ventes Mini France
– Nils Guiomard, Responsable marché grands comptes BMW Group France
– Jean-Loup Savigny, Directeur commercial et marketing Leaseplan France


Une LLD « plus souple »

Lors de la souscription d’un contrat de location longue durée, l’entreprise choisit un couple durée / kilométrage. Cette loi de roulage est-elle pour autant gravée dans le marbre ? « Désormais, 100 % des contrats sont modifiés avant le terme. D’une part les clients peuvent se tromper et d’autre part, nous pouvons leur proposer de modifier les termes de leur contrat du fait de l’environnement concurrentiel, du lancement de nouveaux produits par les constructeurs… La souplesse fait désormais partie de la force de la location longue durée » explique Jean-Loup Savigny, directeur commercial et marketing Leaseplan France. « Il n’y a effectivement quasiment plus un seul contrat qui ne soit pas modifié, c’est vrai. La force de la LLD c’est le service et la tranquillité d’esprit » confirme Edouard Rance, président du cabinet conseil ERCG.

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